Ya sabéis que LAURENT HOPMAN es el que lleva la página de PLANET JACKSON, inactiva desde hace meses. Ha dado su opinión en el foro francés. Dentro de un momento os pongo la traducción.
Je suis comme vous, je suis consterné par la tournure des événements.
Martin Bashir n'est pas le fautif. Le seul et unique fautif, c'est Michael.
Bashir s'est contenté de rapporter ce dont il a été témoin. Je ne pense pas que son but était de descendre Michael.
Le problème —et je ne vous donne pas mon avis, je vous dis la vérité— c'est que Michael est entouré de gens qui ne servent pas ses intérêts. Et Michael lui-même, avec sa naiveté enfantine et son incapacité à accepter que le monde ne tourne pas à l'heure de Neverland, n'est pas en mesure de manipuler un journaliste pendant une interview qui dure des mois.
Michael s'est laissé convaincre par son bon ami Uri Geller —qui s'impose comme expert dans l'art de tordre les cuillères mais qui est totalement incompétent en matière de relations publiques et de gestion de carrière— de donner cette interview.
Michael a bien voulu croire que la chose dont le public avait besoin pour mieux l'aimer, c'était de voir son vrai visage.
Merci Uri. I love you, Uri. You're awesome.
Malheureusement, le vrai visage de Michael, c'est celui d'un grand enfant qui vit coupé du monde à Neverland.
Michael n'a plus personne de compétent et de désintéressé autour de lui. Plus personne. Il a des amis comme Uri Geller, qui veulent l'aider mais qui n'en sont pas capables. Et leurs gaffes sont cuisantes.
Et il a des "employés", des "associés", des "partenaires", qui sont des escrocs, des incompétents, des jeanfoutres ou des bandits qui n'ont qu'une idée en tête: utiliser Michael pour se faire de l'argent.
Michael a construit un univers pour se protéger mais, ce faisant, il s'est également coupé des gens qui pouvaient l'aider.
De Frank Dileo à Trudy Green, Michael a longtemps eu un entourage qui le servait dignement et tentait, avec plus ou moins de succès, de le protéger. Aujourd'hui, il n'est plus entouré par personne de compétent. Il est livré à lui-même.
Sony n'est plus là pour le protéger non plus.
Tant que Michael ne s'entourera pas mieux, des situations de ce type continueront à se produire. Son "manager" actuel est Dieter Wiesner, un escroc allemand qui comparaîtra le mois prochain devant la justice allemande. Un repris de justice qui a fait de la prison et qui est poursuivit pour escroquerie par plus de 100 sociétés allemandes (j'en passe et des meilleures). Et c'est aujourd'hui l'état allemand qui le poursuit.
Voilà le genre de gens qui sont censés servir les intérêts de Michael.
Je suis comme vous, je suis consterné par la tournure des événements.
Martin Bashir n'est pas le fautif. Le seul et unique fautif, c'est Michael.
Bashir s'est contenté de rapporter ce dont il a été témoin. Je ne pense pas que son but était de descendre Michael.
Le problème —et je ne vous donne pas mon avis, je vous dis la vérité— c'est que Michael est entouré de gens qui ne servent pas ses intérêts. Et Michael lui-même, avec sa naiveté enfantine et son incapacité à accepter que le monde ne tourne pas à l'heure de Neverland, n'est pas en mesure de manipuler un journaliste pendant une interview qui dure des mois.
Michael s'est laissé convaincre par son bon ami Uri Geller —qui s'impose comme expert dans l'art de tordre les cuillères mais qui est totalement incompétent en matière de relations publiques et de gestion de carrière— de donner cette interview.
Michael a bien voulu croire que la chose dont le public avait besoin pour mieux l'aimer, c'était de voir son vrai visage.
Merci Uri. I love you, Uri. You're awesome.
Malheureusement, le vrai visage de Michael, c'est celui d'un grand enfant qui vit coupé du monde à Neverland.
Michael n'a plus personne de compétent et de désintéressé autour de lui. Plus personne. Il a des amis comme Uri Geller, qui veulent l'aider mais qui n'en sont pas capables. Et leurs gaffes sont cuisantes.
Et il a des "employés", des "associés", des "partenaires", qui sont des escrocs, des incompétents, des jeanfoutres ou des bandits qui n'ont qu'une idée en tête: utiliser Michael pour se faire de l'argent.
Michael a construit un univers pour se protéger mais, ce faisant, il s'est également coupé des gens qui pouvaient l'aider.
De Frank Dileo à Trudy Green, Michael a longtemps eu un entourage qui le servait dignement et tentait, avec plus ou moins de succès, de le protéger. Aujourd'hui, il n'est plus entouré par personne de compétent. Il est livré à lui-même.
Sony n'est plus là pour le protéger non plus.
Tant que Michael ne s'entourera pas mieux, des situations de ce type continueront à se produire. Son "manager" actuel est Dieter Wiesner, un escroc allemand qui comparaîtra le mois prochain devant la justice allemande. Un repris de justice qui a fait de la prison et qui est poursuivit pour escroquerie par plus de 100 sociétés allemandes (j'en passe et des meilleures). Et c'est aujourd'hui l'état allemand qui le poursuit.
Voilà le genre de gens qui sont censés servir les intérêts de Michael.